Si Le passage en zone rouge du parking de la piscine Roger Aveneau est une bonne chose pour augmenter la rotation des véhicules stationnés, nous souhaitons revenir  sur quelques points afférents aux travaux d’aménagement qui précèdent la décision de transfert dans le domaine public routier de la commune.

• Le nombre de place de stationnement réservées aux vélos est en nette diminution ce qui n’est pas cohérent avec votre communication sur un engagement fort en faveur de la petite Reine. Pourquoi ne pas en avoir profité pour aménager un parking couvert sécurisé (type « véligo » ou « boites à vélo ») et une station de maintenance des bicyclettes ?
• La gestion paysagère de l’espace part d’une bonne volonté de développement du patrimoine arboricole de la ville, plus d’arbres dans les faits. Mais outre un beau magnolia d’une quarantaine d’années qui a été abattu (N’aurait-on pu le déplacer ?), l’implantation d’une bonne partie de ces nouveaux venus nous semble avoir été réalisée sans anticipation de taille ni de forme à maturité. Un chêne vert notamment sur l’alignement d’arbre séparant la piscine du parking peut mesurer jusque 20 mètres et vivre de 200 à 1500 ans. Gageons que son emplacement ne le prédestine pas à l’atteinte de cet âge vénérable. Des arbres fruitiers auraient pu être privilégiés.
• Le développement des zones de stationnement continue à privilégier un usage traditionnel de la voiture. L’aménagement de cet espace aurait pu être l’occasion de faire la promotion de l’auto-partage notamment.

Certes nos points de vue divergent souvent mais l’opacité qui nimbe ce type de travaux n’est pas de nature à permettre d’exploiter la complémentarité encore possible de nos points de vue. Nous aurions pu sans doute enrichir vos réflexions  mais encore eût-il fallu pour cela que nous ayons accès au cahier des charges. C’est le sens de notre souhait réitéré d’une démocratie plus participative.